Belkacem ADRAR Libraire : Le livre c’est la mémoire des peuples.

Le plaisir c’est de voire les jeunes lires et écrire des livres pour s’ouvrir aux autres cultures et peuples du monde.Autodidacte, ancien prisonnier de la fédération de France/FLN, durant les révolutions Algériennes, 1954/1956 puis 1958 à 1962. ou il s’est forgé dans le milieu de lecture, Belkacem ADRAR du haut de ses 86 ans a du lire au moins feuilleter des milliers de livres et avoir des dizaines d’auteurs qu’il a connu depuis ses 25 ans d’expérience dans ce monde dans son métier de libraire et du livre a qui l’on accorde le fameux dicton « Le livre c’est l’ami de tous ». Répondant à la question de l’importance de la relation de l’homme avec les livre, Belkacem Adrar, affirme : « C’est grâce à la lecture que l’on peut apprendre et développer des connaissances dans tout les domaines. C’est grâce à la lecture que l’on peut connaitre les différentes cultures et civilisations des peuples du monde ». Le livre restera toujours la mémoire des peuples, ajoute t-il tout en avançant la lecture développe la culture de la paix qu’on retrouve avec sois et avec son environnement, selon M Adrar.
Amar CHEKAR