Le coach et le créateur, le binôme de la réussite

Le coach s’il est exigeant à l’égard du créateur, doit l’être envers lui-même : il se doit d’honorer ses rendez-vous de manière ponctuelle et être disponible lors des entretiens et éteindre son portable par exemple. Un coach trop occupé aussi charismatique soit-il fera perdre du temps au créateur et le créateur doit décider de ne pas poursuivre son chemin avec lui. Leurs relations doivent être sur la base d’une franchise absolue. Certes le coach insuffle énergie et bienveillance pour permettre au créateur de réussir mais il lui montre les faiblesses de son projet, les faiblesses de ses capacités et de son comportement. Et en retour le créateur accepte de dépasser ses limites. Il ne s’agit pas d’une relation parent-enfant mais d’une relation en quelque sorte maître et disciple. Le coach accompagne le créateur en s’adaptant à son rythme avec la bienveillance et la confidentialité qu’impose la confiance, fondement de cette relation. Il partage son ou ses expériences, le soutient pour lui permettre de dépasser certains paliers, lui apporte une certaine sérénité dans les choix qu’il devra faire à chaque pas, lui propose de pistes ou solutions pertinentes. Il lui ouvre aussi son réseau lui permettant de gagner un temps considérable.